Barbara Kraft

Barbara Kraft est de nationalité allemande et vit à Paris depuis 1990 et à Bruxelles depuis 2010. Elle est impliquée à la fois dans l'art contemporain, la muséographie, le cinéma, le théâtre et la danse.

 

Théâtre et danse

 

Scénographe des Productions Merlin d’Anne Théron depuis ses débuts, elle conçoit les scénographies et costumes de A la trace (2018), Celles qui me traversent (2017), Ne me touchez pas (2016),  Andromaque (2011), Jackie (2009), Amour/Variations (2008), Abattoir (2008), Antigone (2006), La Religieuse(2005), Objet n°1 (2001) et Le Pilier (2000).

 

Elle rencontre Hanna Schygulla en 2006 pour une installation vidéo autour des films Protocoles de rêves. En 2010 elle fait pour elle la scénographie du monologue Marie Luise de Kerstin Specht (d’après une pièce de Marie Luise Fleisser) avec la metteur en scène Alicia Bustamente au Grand Théâtre de Luxembourg. Ensemble, elles conçoivent une exposition sur les travaux personnels de Hanna Schygulla, produite avec l’Academie der Künste (Berlin) et la Maison Européenne de la photographie (Paris).

 

Barbara Kraft collabore avec d’autres metteurs en scène, entre autres, Nathalie Bensard : Sur les pas d’Imelda (2010), Arlette Desmots : Loulou et les drôles de sons (2007), Stella Serfaty : Le Professeur de musique (2005), Claire Schmitt : En plein coeur de la vie (2001) et Trazom (2006), et en matière de danse, avec les chorégraphes : Francis Voignier et Laurence Bertagnol : Danse, Roller et Vidéo (2002), Laurence Marthouret et sa compagnie Trans sur une série de solos Monade & Meltem (2008).

 

Cinéma

 

Elle intervient en tant que directrice artistique pour le long métrage Suerte (2009) de Jacques Sechaud, La serre de glace (2005) de Marc Barbé, Ce qu'ils imaginent (2002) et Elle grandit si vite (1999) d'Anne Théron, et en tant que créatrice de costumes pour Malher - d'un Pas mesuré (2008) de Pierre-Henry Salfati, La Copie de Coralie (2007) de Nicolas Engels, le documentaire-fiction 1919 (2007) de Paul Cowan, Le Plaisir de chanter (2007) et La Confusion des Genres (2000) d'Ilan Duran Cohen, Le soleil au dessus des nuages d’Eric le Roc…

 

Musées et expositions

 

Elle participe à la création scénographique du NibelungenMuseum (Worms, Allemagne 2001), et de Rêver la modernité (Château de Trévarez, Finistère 2005-2006) avec le Laboratoire Culturel A+H.

 

Art contemporain

 

Elle a fondé avec d'autres artistes le groupe interdisciplinaire Argonaut avec lequel elle a réalisé de nombreuses installations et performances en France et en Allemagne depuis les années 80 : Kraftakt, Caban, Extremzeit, Tableau vivant, Sprachlos, présentées dans plusieurs festivals et lieux d’exposition (Goethe Institut, Paris, Photokina, Cologne, Cantini Museum, Marseille, Chemins Numérique, Centre culturel Saint- Exupéry, Reims 2006).

 

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Tony Barthélémy

Plasticien scénographe, né a Limoges en 1988.

Après des études en Arts Appliqués au lycée technique de Vence et un rapide cursus en Design Général à Marseille, Tony Barthélémy décide de s'orienter vers des pratiques plastiques plus expérimentales et s' inscrit à l'Ecole Supérieure d'Arts Plastiques et de Scénographie de Monaco (ESAP Pavillon Bosio).

Son travail personnel prend un nouvel envol lorsqu'en 2012 il séjourne 4 mois en Serbie pour échanger avec des étudiants des Beaux Arts de Belgrade. Il en revient avec les prémices d'un véritable programme spatial d'artiste, et obtient avec succès son DNSEP* l'année suivante.

En parallèles de ces études, il participe à plusieurs montages d'expositions comme à la Fondation Maeght de St Paul-de-Vence, au musée Fernand Léger de Biot ou à la Villa Arson de Nice. Il réalise également plusieurs scénographies pour les danseurs de la Compagnie des Ballets de Monte-Carlo.

Aujourd'hui, Tony partage son temps entre son travail de designer et celui de scénographe. C'est la deuxième fois qu'il collabore avec la compagnie /TranS/ Laurence Marthouret, avec, pour At Home, une proposition scénographique épurée et soigneusement étudiée avec la directrice artistique Laurence Marthouret.

Dans mon travail de plasticien, La dimension scénologique tient une place centrale puisque je ne conçois que rarement des pièces autonomes mais plutôt un ensemble de productions, faites pour fonctionner les unes avec les autres. Tony Barthélémy.

*DNSEP = Diplôme National Supérieur d'Expression Plastique


Aurélia Wolf

Suite à sa rencontre avec la créatrice Renata pour qui elle travaille près de 3 ans, Aurelia Wolff étudie le modélisme au London College of Fashion. Après diverses expériences de création en céramique, bijoux et accessoires textile, elle lance sa marque de prêt-à-porter femme en 2008 : ROSA TAPIOCA. Elle ouvre une boutique dans le Marais à Paris en 2009 puis installe un plus grand atelier à Ivry sur Seine dans lequel elle développe un projet écologique de teintures végétales : la marque WHOLE voit le jour en 2013, proposant une collection de linge de maison et d'accessoires bébé aux couleurs 100% plantes 100% made in France.

Directrice artistique de WHOLE et créatrice de vêtements pour des projets artistiques, Aurelia Wolff se spécialise dans les savoir-faires de tricotage, tissage et teintures naturelles et met en place de nombreuses collaborations créatives. La marque WHOLE est distribuée à l'international.

WHOLE.FR

ROSATAPIOCA.COM

Chez l'Entre-Pont, Le 109,

89 Route de Turin

06300 Nice

 

Mail : 

cie.trans.lm@gmail.com

production.diffusion.cie.trans@gmail.com

 

Téléphone : 

+ 33 (0) 6 1745 21 11

 

 

Crédits photos

Erik Lasalle, Cynthia Lhopitallier, Frédéric De Faverney, Frédéric Pasquini, Frédérique Fichet, Guy Vivien, Valérie Villaume

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